Officier 511St PIR

Descrition détaillé

Paire d'insignes de cols pour officier du 511st parachute Infantery regiment, fixation par pins.

Le 511th PIR a été formé à Camp Toccoa , Géorgie, en janvier 1943 et transféré en mars à Camp Mackall , Caroline du Nord avant de se diriger vers Fort Benning , Géorgie, bataillon par bataillon pour l'entraînement au saut. Après les difficultés rencontrées par les opérations aéroportées alliées lors de l'opération Husky en juillet 1943, du 6 au 10 décembre, le 511th PIR participa à la manœuvre réussie de Knollwood qui assura l'avenir des unités aéroportées américaines. Après un examen final à Camp Polk , Los Angeles, le régiment se rendit à Camp Stoneman , Californie, et en mai 1944, il s'embarqua pour le Pacifique à bord du transport de troupes SS Sea Pike . Il s'entraîna à Oro-Dobodura en Nouvelle-Guinée jusqu'en novembre 1944, date à laquelle il fut envoyé aux Philippines pour rejoindre la bataille de Leyte.

Initialement, le régiment fut chargé d'une opération de « reconnaissance en force », mais ses ordres furent modifiés pour prendre et conserver les passages à travers les montagnes du centre de l'île, et engager et réduire les forces japonaises dans la région, pour finalement soutenir l'armée japonaise. bataille d' Ormoc qui se poursuivait simultanément. Le 511th a accompli avec succès cette mission pendant les rigueurs de la mousson sur un terrain escarpé et fortement boisé, émergeant peu après Noël 1944 dans la plaine d'Ormoc après avoir subi de graves pertes.

Après un bref repos et ravitaillement, le régiment fut envoyé sur l'île de Mindoro alors que la 11e Airborne se préparait pour sa part dans la bataille de Luzon . Le 3 février 1945, le 511e à bord de 48 avions C-47 effectua un saut de combat sur la crête de Tagaytay . En raison du manque d'avions, le régiment et ses éléments associés sautèrent sur 3 échelons. Malgré quelques erreurs de largage, le 511e s'est rassemblé avec succès dans sa zone de largage à l'annexe de l'hôtel de Manille sur la crête de Tagaytay et a procédé en bataillons vers le nord en direction de Manille, rencontrant occasionnellement une résistance japonaise dans les villes d'Imus et de Las Piñas avant d'engager les Japonais sur la rivière Parañaque juste au sud. de Manille.

Durant la bataille de Manille , le 511e combattit à travers la ligne japonaise Genko du 5 au 12 février, pénétrant aussi loin à Manille que dans la région de Dewey-Libertad, avant de se tourner vers l'est pour attaquer et reprendre le fort William McKinley (Fort Bonifacio, aujourd'hui Bonifacio Global City). ). Le 23 février, son 1er bataillon participa au raid de Los Baños , libérant plus de 2 000 civils alliés étrangers d'un camp d'internement japonais au sud de Manille, tandis que sa compagnie B effectuait un saut en parachute sur le camp lui-même. [3]

Le régiment a procédé au dégagement d'un couloir de transport entre Manille et les villes de Lipa et Batangas City , qui possède un port important, et a pris la ville carrefour de Santo Tomas. Avec le reste de la 11e Airborne, elle engagea également les forces japonaises dans toutes les provinces de Laguna, Batangas et Tayabas (Quezon moderne) ; les 1er et 2e bataillons du régiment de la Sixième Armée se réservent dans les villes de Batangas et Bauan, son 3e bataillon en combat actif. Du 27 au 29 avril, il engagea et élimina les forces japonaises restantes retranchées dans des complexes souterrains dans la chaîne du mont Malepunyo ( Malarayat ) à l'est de Lipa.

Le 23 juin, des éléments du régiment prirent part au dernier saut de combat de la guerre à Aparri , dans le nord de Luçon, dans le cadre des efforts visant à bloquer la retraite du commandant japonais, le général Yamashita . Le régiment resta dans la région de Lipa-Batangas, s'entraînant en vue de l'invasion prévue du Japon, jusqu'aux bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki .